Je (Nathalie) suis arrivée en première, le mercredi 1er février 2006. J’ai pris l’Eurostar jusqu’à London-Waterloo puis le Virgin train de London-Euston jusqu’à Birmingham New Street. J’avais une énorme valise, dans laquelle j’ai mis le nécessaire pour survivre : la couette, mon peignoire, mon réveil, qq vêtement et le nécessaire de toilette.
Je suis allée directement à l’agence immobilière où j’avais rendez-vous avec Tom, l’agent immobilier. Nous sommes allés direct à l’appart. Le hic c’est que l’ascensseur ne marchait pas (et il ne risque pas de remarcher de si tôt car apparament il y a un problème avec la société de gestion de l’immeuble ?!!?). Donc 4 étages avec l’énorme valise. Bon les étages ne sont pas très hauts, donc ça va, mais pour le jour où les cartons arriveront, je crain le pire…
Pas d’état des lieux ! Tom a pris son appareil photo numérique et pris en photo toutes les cassures, fissures, traces, ébréchures, etc. (Il n’y en a pas énormément je vous rassure). J’ai quand même fait un inventaire détaillé que Tom a signé, histoire d’être sure qu’il n’y ait pas de conflit, plus tard, avec le proprio.
Sinon, l’appart est génial. 60m² (donc immense par rapport à notre 35m² de Paris). Le salon est très lumineux, la chambre aussi et les canapés sont ultra confortables. La cuisine est super belle, mais assez male fichue pour une ménagère de taille moyenne. 1m65 je ne suis pas petite, pourtant je dois tout le temps me mettre sur la pointe des pieds, encore un mec qui a designé ce truc. En plus l’autre jour j’ai fait du saumon grillé dans le four (qui est super beau). Mais ça a senti dans tout l’appart car il n’y a ni porte ni fenêtre (une hotte quand même, mais pas à côté du four…). Malgré tout ça, il y a un lave vaisselle ce qui est et sera une véritable libération pour nous !
En attendant Vincent, qui doit arriver ce week-end avec Yann et Cheriff en camionnette, je m’ennuie un peu, mais bon, plus que qq heures à attendre… 🙂
La suite au prochaine numéro
Notre immeuble n’a pas plus de 5 ans. Depuis quelques années, le centre de Birmingham est entièrement refait, avec beaucoup de gout. Le pbm c’est que les gens d’ici (comment les appelle-t-on ?) ne connaisse même plus le nom de toutes les rues tellement il y en a de nouvelles !