Je dis et je le répette à chaque fois que je n’irai plus voir de dessins animés américains… Là j’y suis allée car la bande originale avait l’air sympa. Et bien le film aussi 😉 !!!

J’ai vérifié après coup et le film n’est pas tout à fait américain puisqu’il est surtout australien, et il n’est pas produit par Walt Dysney, d’où sans doute l’originalité du scénario.

Côté technique, oui c’est bien fait. C’est d’ailleurs devenu une vanne entre Vincent et moi : A chaque fois qu’un film d’animation sort avec grand renfort d’imagaes de synthèse, on passe 1/2 heure à sortir les phrases suivantes :

- « ouah t’as vu comment c’est bien fait ? »

- « On dirait que c’est réel ! »

- « T’as vu la qualité des mouvements ? »

- « Il paraît qu’ils ont animé chaque poil un part un, tu te rends compte ? »

L’histoire est beaucoup plus intéressante : chez les pingouins d’antarctiques l’accouplement se fait en chanson jusqu’au jour où un petit pingouin se met à chanter faux mais à danser comme un dieu. Le père culpabilise car il pense que c’est parce qu’il a mal couvé l’oeuf. Le petit pingouin est exclu et doit trouvé un moyen de s’en sortir. Ce qu’il fait en résolvant le problème du manque de nourriture.

A ce propos, je n’aime pas tellement cette surenchère de culpabilisation écologique. Car l’être humain est clairement mis en cause dans la mise en danger de la vie des pingouins. C’est sans doute vrai, mais les enfants qui vont voir ce film n’en sont pas responsables donc pourquoi leur démontrer que les humains sont tous méchants. Ce qui sauve tout ça, c’est que le film montre qu’avec une politique intelligente et surtout une bonne gestion des ressources naturelles est la clé : autrement dit allez voter intelligemment si vous voulez arrêter de culpabiliser, les dirigeants sont les seuls à pouvoir gérer ce genre de crise !

A part ça, ce qui nous a vraiment plus, c’est la musique. A plusieurs reprises, nous avons eu envie de taper dans les mains voire de chanter avec ces pingouins 😀 !

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