- Comme L.A. Confidential ce film est inspiré d’un roman de James Ellroy

- Comme dans L.A. Confidential l’action prend place à la fin des années 1940

- Comme dans L.A. Confidential ce film est centré autour d’un policier.

- Comme dans L.A. Confidential il y a une blonde pulpeuse et mystérieuse.

- Comme dans L.A. Confidential il y a pas mal de ketchup

Si bien qu’à la fin du film j’étais persuadée que c’était Brian De Palmas qui avait réalisé L.A. Confidential (en fait il s’agit de Curtis Hanson).

Ce sont donc les ressemblances avec L.A. Confidential qui m’ont poussées à aller voir ce film. Et c’est vrai que les deux films se ressemblent énormément. L’esthétique est la même, c’est-à-dire fabuleuse. Les acteurs sont excellents la réalisation parfaite (bien qu’un peu trop semblable à celle de L.A. Confidential).

Vous l’aurez compris, si vous avez detesté L. A. Confidential, n’allez pas voir le Dahlia noir, sinon allez-y, c’est vachement bien !

Dernière ressemblance : je me souviens que j’avais dû pas mal me concentrer pour comprendre l’intrigue de L.A. Confidential alors qu’il était en version française. The Black Dahlia était tout aussi dur à suivre, d’autant plus que c’était en anglais !

Comme je l’ai dit, l’esthétique de ce film est merveilleuse, ils ont tout simplement pris le plus beau de la fin des années 40. Un détail m’a pourtant géné : Il est connu qu’à cette époque les soutien-gorges donnaient un aspect pointu aux poitrines. Ici, elles ont une rondeur bien moderne…

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